
+ Le Balligot des Confrères ou « Dyonisos de Saint-Céré »
Cuit en friture, un vrai savoir-faire, la référence le long de la Bave
Pour redonner des forces aux joueurs de rugby à la troisième mi-temps

+ Lou Balligot du père Castagné (dit le «Peytavis»)


C’est le père Castagné qui nous l’a donnée : il y met de la tome fraîche du Cantal, et quelques morceaux de noix… Cuits au four, après le pain
« Lo balligot, es coma lo cabecon, aquò se talha pas en dos » (le balligot, c’est comme le cabecou, ça ne se coupe pas en deux!)
+ Le Balligot de Louis Pégourié (Mauroux)

Préparé avec du Cantal jeune râpé, et cuit au four
Le père Pégourié y rajoute toujours une goutte (ou plus…) de sa fameuse prune

+ Le Balligot du Pèlerin de Rocamadour

avec du cabecou sec, rapé, mélangé au cantal jeune
